Révolution russe / Version Droite / 100 ans après
Révolution1 630 W
Version "Droite" type 'Action française' et résumée de l'histoire analytique de la Révolution Russe 10.1917 sorte de processus du développement général de la société relevant ce que dans le langage courant on nomme « L’anticommunisme primaire »
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En un mot l’histoire est une sorte de processus de développement des formations sociales et de l’individualité humaine sans plus.
Comme raccourci on ne fait pas mieux. C’est tout autant ce que mis en évidence dans le texte la direction oligarchique POUTINIENNE de l’actuelle Russie fuyant comme la peste l’idée de « révolution » lui préférant une sorte de roman national à la Jules Michelet dont MARX ne fut certes pas la tasse de thé.
Et pour cause, lorsque le pays n’en finit pas de compter qqs 25.000.000 de citoyens vivant sous le seuil de la pauvreté il n’est certes pas indiqué de parler de révolution.
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A contrario l’analyse de l’histoire selon MARX repose sur un constat fondamental, soit un concept universel et dialectique du processus du développement des peuples qui est fonction du développement tendanciel du marché mondial.
En résumé et à cent lieues de MICHELET et du concept de Droite cité en 1.
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Bien au contraire c’est la vie sociale des hommes, leurs intérêts pratiques, qui constituent la base des formes juridiques et politiques de l’histoire et non l’inverse comme on peut le constater journellement.
Il est donc essentiel y compris aujourd'hui s’attaquer prioritairement à cette base.
Ce que fit la révolution russe.
Le rédac de RIPOSTE
EXTRAIT Action Française 2000 n° 2966 du 16 Novembre 2017
Il n’est pas possible de gommer l’événement. Mais pour le gouvernement russe, la chose est entendue : 1917 ne doit pas être une pomme de discorde ; il faut réécrire un roman national dans lequel la révolution d’Octobre n’est qu’un chapitre parmi d’autres.
Le 7 novembre 1917 (25 octobre du calendrier julien), les bolchevicks organisent un coup d’État à Petrograd contre les républicains et prennent le pouvoir. Quelques jours plus tard, Lénine est à Moscou. La Russie bascule dans le communisme et dans la guerre civile. Pour l’Occident, l’événement provoque une seule inquiétude : le nouveau pouvoir va-t-il faire la paix avec l’Allemagne comme le proclament les slogans révolutionnaires ? « La paix et du pain ! » Dans un premier temps, la révolution d’Octobre est vue comme un épisode compliqué de la Grande Guerre. Très vite, le nouveau pouvoir manifeste deux caractéristiques : une intransigeance violente à l’égard de l’ordre ancien et sa prédisposition à la révolution universelle. À partir de 1917 se met en place l’idéal rousseauiste du contrat social revisité par Marx et Lénine, l’application par la force d’un contrat social fondé sur l’abolition de la propriété privée et la disparition nécessaire des classes sociales et des superstructures économiques, politiques ou culturelles qui en sont les produits. Bref, « du passé faisons table rase », comme le proclame L’Internationale. Mais la révolution d’Octobre n’est pas seulement un phénomène russe, il est mondial. En Russie, les communistes éliminent toute opposition avant de mettre en œuvre la création d’une société sans classe et d’un homme nouveau. De 1917 à 1953, le pays creuse un puits sans fond où s’entassent des millions de cadavres. Après s’installe un « totalitarisme » mou. Sous Brejnev, on parle de « socialisme réel », c’est-à-dire un consensus tel qu’il n’est plus besoin de tuer.
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https://www.actionfrancaise.net/2017/11/15/revolution-russe-cent-ans-apres/